Les résultats ne sont pas rassurants. Que ce soit pour l’accessibilité des médicaments, leur disponibilité ou l’attractivité du territoire pour le financement de la recherche et du développement, l’industrie pharmaceutique française est en perte de vitesse au niveau européen. C’est l’amer constat dressé par le Leem.

Avec 700 000 tonnes par an, selon la Direction générale de la santé, l’ensemble des déchets produits lors des soins hospitaliers représente 3,5 % de la production nationale. Pour des raisons écologiques autant qu’économiques, réduire le volume de ces déchets, et plus particulièrement ceux présentant un risque infectieux dont 20 % à 30 % proviennent des blocs opératoires, constitue un enjeu majeur pour les établissements de santé.