Décès de Martin Courtois, avocat associé du cabinet AdWise

Sa carrière d’avocat, Martin Courtois la commence en 2013, après avoir terminé ses études au master 221 "fiscalité de l’entreprise" de l’université Paris-Dauphine en tant que major de promotion.

Après avoir commencé brillamment son métier d’avocat au sein du cabinet Archers, il y exerce jusqu’en 2021. Martin venait de fonder le cabinet Adwise Avocats avec Jean-Louis Medus et Antony Martinez, et d’être le papa, avec son épouse Alexia, de leur premier enfant, Auguste. Il était de la trempe des grands, son talent et son flegme en faisaient un associé brillant, apprécié de ses collaborateurs et un avocat très proche de ses clients.

Jean-Louis Medus évoque "l’énergie, l’enthousiasme et la gentillesse qui irradiaient de Martin, toujours positif et souriant, prêt à relever des défis et à s’entourer de ceux qu’il jugeait dignes de rejoindre son bateau parce qu’humains et compétents".

Il aimantait tout autour de lui par sa gentillesse et sa simplicité. Il aura su fédérer ses nombreux amis rencontrés à Cahors d’abord puis à Toulouse, Paris et Lyon, qu’il aimait réunir dans sa maison familiale de Vinsobres dans la Drôme provençale. Grand sportif et compétiteur, Martin Courtois était également un champion de tennis hors pair, son club gardant le souvenir d’un jeune « hors norme, taillé pour la compétition, au mental d’acier » ; mentalité et qualités qu’il a su garder et mettre au service de son métier d’avocat.

Ronan Journoud, associé chez AdWise Avocats et membre de sa promotion à l’université Paris-Dauphine, se souviendra de ses "grandes qualités humaines, son caractère fédérateur, sa vive intelligence et sa force tranquille".

Ceux qui ont croisé le chemin de Martin Courtois se souviennent d’un homme chaleureux, bienveillant et toujours à l’écoute.

Ses proches venus très nombreux lui ont rendu, avec une profonde tristesse, un très bel hommage le 3 janvier dernier à Lyon, lieu de son inhumation où sa mémoire a été honorée.

Les membres d’AdWise Avocats se font l’écho d’un cabinet "orphelin et empli d’un immense chagrin".

La rédaction