Métamorphosé par la pandémie, le monde du travail se réinvente avec la mise en place massive du télétravail. De cette pratique découle un abandon partiel des bureaux, mais pour combien de temps ? SFL publie la 7e édition de son baromètre, renseignant sur l’avenir du bureau et le ressenti des salariés. Décryptage.
WeWork qui ouvre un nouvel espace au 7 rue de Madrid à Paris 8e, Géraldine Ajax qui prend la direction de la marque du groupe Quartus, les pertes de la SNCF qui devraient avoisiner 5 Mds€ en 2020… Décideurs vous propose une synthèse des actualités immobilières et urbaines du 2 décembre 2020.
Affecter la conservation d’espèces suppose l’obtention d’une autorisation dérogatoire : le projet répond à un impératif d’intérêt public majeur mais aux conditions imposées par le texte et sous le contrôle du juge. Décryptage de Marie-Yvonne Benjamin, avocate associée, et Patrick Lucien-Baugas, avocat chez Genesis Avocats.
Avec une puissance installée qui avoisine les 25 GW, soit près du 1/5e du parc de production français et près de 12 % de la production d’électricité, le potentiel hydroélectrique occupe une place primordiale en France et attire, à juste titre, les énergéticiens européens. Las, la situation des concessions hydroélectriques, soit 399 ouvrages, n’a pratiquement pas bougé depuis le plan Borloo de 2010. Analyse de Mounir Meddeb, associé fondateur d’Energie-Legal
En principe prohibées, les aides d’État sont aujourd’hui largement mobilisées par la France. Ces aides visent tant à remédier
aux perturbations graves de l’économie résultant de la crise sanitaire qu’à permettre l’émergence des innovations industrielles nécessaires à la transition énergétique en réponse à la crise climatique. Décryptage de Christine Le Bihan-Graf, avocate associée au cabinet De Pardieu Brocas Maffei.
Dans deux arrêts rendus cet été, le Conseil d’État vient préciser le régime de la fin anticipée des contrats publics, frappés d’irrégularité, ou conclus alors que l’acheteur public s’estime victime d’un dol. Explications de David Pilorge, avocat directeur chez Cornet Vincent Ségurel.
Mis en place par l’ordonnance numéro 2016-985 du 20 juillet 2016, conformément à la loi Croissance 2015-990 du 6 août 2015 (ou "loi Macron"), le bail réel solidaire (BRS) objet des articles L255-1 et suivants du Code de la construction et de l’habitation, a été surtout promu comme un mode novateur de dissociation du foncier et du bâti destiné à faire baisser, au bénéfice des accédants les plus modestes, le coût de la production immobilière. S’il s’agit assurément du cœur du mécanisme, il apparaît que ce dernier se distingue surtout des dispositifs plus anciens par la mise en place d’un arsenal anti-spéculatif pérenne à l’origine peut-être, et selon une postérité à confirmer, d’un véritable marché immobilier parallèle "expurgé" pour l’essentiel de toute spéculation. Analyse de Loïc Guez, notaire associé chez Nogent Paris Est Notaires.