Le premier mars dernier, comme chaque année depuis 2014, se déroulait la journée "zéro discrimination". L’occasion de rappeler l’importance d’une politique RH favorisant la diversité et l’inclusion en entreprise.
Objectif : zéro discrimination
La quête de sens des salariés a poussé nombre d’organisations à renforcer leur politique en matière de RSE, un outil entre autres pour lutter contre les discriminations. L’étude "Constat sur la diversité et l’inclusion en Europe" réalisée par Workday en 2021 révèle que 45% des entreprises françaises considèrent la diversité et l’inclusion comme un facteur d’engagement des collaborateurs. Par ailleurs, en 2020, une étude de Deloitte sur la même thématique dévoilait que 57% des salariés de 18 à 34 ans souhaitaient déjà voir se développer la diversité et l’inclusion au sein de leur entreprise.
De plus, la diversité et l’inclusion seraient un véritable levier économique pour l’entreprise. Selon la même étude Deloitte, 80% des DRH et dirigeants estiment que la diversité et l’inclusion sont de réels avantages compétitifs. Elle démontre également que les entreprises engagées dans cette démarche auraient 60% de chance en plus de voir augmenter leur productivité, mais également d’améliorer leur marque employeur.
Le 1er mars, c’est Coachclub, plateforme de coaching numérique, qui partageait trois leviers permettant aux entreprises de faire de l’équité un point incontournable de leur stratégie RH à travers une politique de diversité interne, la non-discrimination à l’embauche ou encore le coaching pour accompagner l’inclusion.
Si la prise de conscience est au rendez-vous, 80% des organisations ont encore du mal à mettre en place des actions concrètes selon l’étude de Workday. La diversité et l’inclusion ont tout à offrir à l’entreprise et à ses collaborateurs. La fonction RH a tout à gagner à ne pas les laisser au stade du concept.
Clara Elmira