2024, c’était pas si mal…
Lors des traditionnels repas de Noël et du réveillon, les pessimistes pourront s’en donner à cœur joie. Pour insuffler un peu de bonne humeur chez vos proches, voici quelques bonnes nouvelles passées sous les radars.
Lors des traditionnels repas de Noël et du réveillon, les pessimistes pourront s’en donner à cœur joie. Pour insuffler un peu de bonne humeur chez vos proches, voici quelques bonnes nouvelles passées sous les radars.
L’instabilité politique de ces derniers mois a mis au chômage des centaines de collaborateurs ministériels. Leur nombre est si élevé qu’il rend leur reconversion dans le secteur privé de plus en plus difficile.
L’intellectuel franco-algérien est embastillé depuis plus d’un mois et sa santé se détériore. Plus de 1 000 personnes se sont réunies au Théâtre Libre pour appeler à sa libération et partager les stratégies efficaces à mettre en œuvre.
Après une année noire dans les Drom-Com, qui auront vu se succéder tensions sociales et évènements climatiques extrêmes, les assureurs annoncent leur intention de quitter ces marchés devenus trop incertains, trop risqués et peu rentables. En Martinique, plusieurs assureurs ont ainsi fait part de leur refus d’assurer le risque émeutes pour les entreprises.
Campagne européenne, dissolution surprise, alliances stratégiques, situation économique et internationale tendue, début de course à la présidentielle… L’année qui s’achève a été riche en actualité et en petites phrases. Si certaines font sourire, d’autres sont cyniques voire dangereuses pour la démocratie. Florilège.
Les études se succèdent et se concluent de la même façon : dans toutes les disciplines, nos élèves sont de plus en plus mauvais. Même les têtes de classe et les enfants de milieux aisés voient leur niveau baisser. Un drame pour notre démocratie et notre souveraineté.