Que des entreprises sous LBO soient aujourd’hui en difficulté, plus peonne n’en doute. Mais, est-ce bien étonnant quand l’économie mondiale travee une crise d’une telle ampleur ? Les entreprises cotées ou détenues par des actionnaires familiaux sont-elles pour autant moi exposées que les sociétés présentes da les portefeuilles des investisseu en capital ? Car c’est là que repose le vrai débat : le LBO fragilise-t-il l’entreprise ?
Face à la raréfaction des opératio, la concurrence entre grands fonds s’est accrue. Pour décrocher de nouveaux deals, certai n’hésitent pas à s’aventurer du côté du public equity. Mais cette stratégie peut s’avérer dangereuse. Autre sujet d’inquiétude, les performances. Depuis le premier trimestre, le taux de rentabilité interne (TRI) des fonds réalisant des opératio de plus de 200 millio d’euros s’effondre.
Valeur d’investissement comprise entre 500 M€ et 1 Md€Carlyle renforce son positionnement sur le marché françaisDernier fonds levé : Carlyle Europe Partner III (5,4 Md€)Taille des entreprises ciblées : entre 200 et 1 000 M€
Valeur d’investissement comprise entre 75 M€ et 500 M€Axa Private Equity : une expertise internationaleDernier fonds levé : Axa LBO Fund IV (2,48 MdS)Taille des entreprises ciblées : valeur d’entreprise entre 100 M€ et 2 Md€
Les acteu du small cap ont bonne mine. Le nombre d’opératio parvient à se stabiliser, contrairement au large cap, même si le montant des deals traités ne cesse de baisser. Résultat, la concurrence est de plus en plus marquée. Grâce à un système de financement basé sur les banques régionales, le small cap devrait être le premier à profiter de la réouverture des vannes du financement.
Valeur d’investissement inférieure à 200 M€ Activa Capital : LBO majoritaires et cap-dev minoritaireDernier fonds levé : Activa Capital Fund II (320 M$)Taille des entreprises ciblées : entre 20 et 200 M€