Entre vaccination et réouverture de l’économie, le contexte plus favorable de la situation sanitaire est l’occasion de jeter un regard lucide sur le passé. David Charlet, président de l’Anacofi, délivre les principaux enseignements de l’enquête menée par l’association professionnelle sur les conséquences de la Covid-19 auprès des CGP.
Multi-family office indépendant, adossé ou bancaire, …difficile de s’y retrouver. La réalité du métier est aussi large qu’il existe de structures différentes. L’envers du décor est plus complexe à appréhender qu’il n’y paraît malgré les efforts réglementaires auxquels sont soumis les acteurs du marché. Si on pose l’intérêt du client au centre du débat c’est bien la notion d’indépendance qui s’avère centrale. Mais finalement, que recherchent vraiment les clients de ces structures ? Répondre à cette interrogation c’est d’abord se poser la question de ce que doit être la mission du Family Office (FO).
Les non-résidents s’interrogent souvent sur la meilleure façon de structurer leur investissement immobilier en France. S'agissant des plus fortunés, ils sont parfois enclins à privilégier leur structure familiale d’investissement (holding/Trust). Est-ce le mode de détention le plus approprié ?
La prestigieuse université américaine annonce la fin des investissements dans les énergies fossiles, une décision que des voix de plus en plus nombreuses - tant sur le campus qu'à l'extérieur - lui réclamaient depuis des années.
Pour Sylvain Theux, le président et fondateur du family office Holding Fortune, la stratégie patrimoniale mise en œuvre par une famille dans un contexte de mobilité internationale doit se démarquer par sa souplesse. Il s’en explique.
Dans un marché de la gestion de patrimoine où l’information est devenue pléthorique et facilement accessible, découvrez comment les banques privées ont façonné leur stratégie commerciale, ESG, et numérique pour conquérir le cœur d'une nouvelle génération composée de startuppers, de serial entrepreneurs, d’influenceurs et d’héritiers. Entretien avec Edouard de Saint Pierre, directeur de Lombard Odier France.
Lorsqu’un contribuable cède les titres de sa société, il est imposé, au choix, soit à sa tranche marginale du barème de l’impôt sur le revenu ainsi qu’aux prélèvements sociaux à 17,2 % ; soit au prélèvement forfaire unique de 30 %, aussi appelé "flat-tax". Cependant, il est possible d’envisager des schémas de cession différents qui auront plus de sens selon la situation du contribuable.