La firme américaine, très bien implantée en Europe et en Asie, peut s’appuyer sur une culture d’entreprise vieille de cent soixante ans, une expertise de pointe et une clientèle d’un très haut niveau.
Davis Polk, le choix de l’excellence
Canal+, Valeo, Technicolor, Carrefour, Baccarat, Eramet, Sodexo, Areva, EADS, GDF Suez, LVMH, ArcelorMittal, Pernod Ricard, Vivendi, Société générale, Dexia, Lafarge… À la lecture de la liste de clients du cabinet, on comprend que sa réputation n’est plus à faire. Davis Polk se positionne sur les dossiers les plus emblématiques et les plus retentissants du marché.
Un cabinet bien français…
Lors de son ouverture en 1962, le bureau parisien de Davis Polk n’était qu’une antenne française de la firme américaine. Depuis tout a changé. D’abord positionné sur le droit américain grâce à un partenariat avec Bredin Prat pour le volet français des dossiers, Davis Polk se fait un nom sur la place du marché de capitaux. C’est Arnaud Pérès qui, arrivé en 2005, ouvre pleinement l’équipe au droit français et à la clientèle parisienne. Le spécialiste des M&A privées et publiques a auparavant exercé quinze ans chez Freshfields. En 2007, le virage est complet. Georges Terrier, accompagné de Christophe Perchet, rejoint le cabinet. Ancien directeur juridique (Goodyear) entré chez JeantetAssociés en 1982, il dirige le cabinet français à partir de 2000. Sa renommée s’appuie sur une double maîtrise du conseil M&A et du contentieux des affaires. Davis Polk trouve en lui l’avocat idéal pour porter le bureau de Paris, dont il prend la direction, en haut des classements. «?J’ai choisi Davis Polk pour poursuivre ma carrière parce que j’ai été attiré par la plateforme internationale de la firme et son modèle professionnel dans lequel l’élégance et la solidarité entre les avocats sont des facteurs de grande efficacité.?» Les deux associés américains qui pilotaient l’équipe française repartent alors aux États-Unis. Andrés Gil, en provenance de New York, les remplace.
L’équipe se renforce encore l’année dernière avec l’arrivée de Jacques Naquet-Radiguet, ancien associé dirigeant de la pratique corporate chez Shearman & Sterling. Conseil de Rhodia, Baccarat et Starwood Capital Group notamment, il est un spécialiste des opérations transfrontalières et intérieures de fusions-acquisitions privées et publiques, des transactions de coentreprise et de private equity. «?Nous avons bien sûr été séduits par son expérience de plus de quinze années chez Shearman mais aussi par sa vision globale très entrepreneuriale du métier?», confie Georges Terrier, qui a présidé à son arrivée.
… dans un réseau vraiment international
Paris était le premier bureau ouvert par Davis Polk hors des frontières américaines. Il fait aujourd’hui office de modèle de développement en Europe. Le bureau de Londres vient en effet d’entamer une démarche similaire à celle réalisée à Paris. Ouvert en 1972, il est resté jusqu’à ce jour un acteur des opérations américaines. Depuis juin 2012, un avocat londonien, Simon Witty, est chargé de développer la pratique du droit anglais. En provenance de Freshfields où il est associé depuis plus de quinze ans, il est renommé sur les marchés de capitaux. Grâce à son expérience, l’ouverture de Londres au droit local se fera donc par la pratique du private equity, en lien direct avec les bureaux de Hongkong et de São Paulo. Cette ouverture témoigne une nouvelle fois de l’efficacité du réseau de la firme. L’interaction entre les équipes s’illustre sur le dossier EADS. En octobre, l’équipe londonienne est intervenue, avec le bureau de Paris, auprès du gouvernement français dans ses négociations avec le groupe BAE suite au projet de fusion des deux entités pour une valeur de 36 milliards de dollars.
Ces liens étroits entre les équipes permettent aussi de développer la pratique du restructuring à Paris. Elle est maintenant très solide, avec Christophe Perchet et Arnaud Pérès en France et Jeffrey O’Brien à Londres. La plate-forme Davis Polk permet une déclinaison des méthodes de travail, une globalisation des pratiques, à l’image du travail effectué auprès de Technicolor lors de sa restructuration. La procédure de sauvegarde, inspirée du droit américain, a permis de proposer des issues bien rodées chez Davis Polk.
Enfin, le réseau diffuse la culture Davis Polk, notamment l’importance du contentieux, un secteur fondamental aux États-Unis et dupliqué à Paris. Cette année, l’équipe française était aux côtés de Carrefour face à Casino sur les opérations au Brésil et d’Eramet lors de la remise en cause de sa privatisation en 1999.
Un haut niveau de rentabilité…
L’équipe parisienne a fait le choix de se positionner sur les matières d’excellence : le M&A, le private equity et le contentieux des affaires. «?Dans son domaine de compétence, les problématiques exigent une vision globale et transversale. Les directions juridiques des grands groupes, de plus en plus compétentes et positionnées à un niveau stratégique, recherchent de leurs conseils une forte valeur ajoutée ; le full service n’est plus recherché?», explique Georges Terrier. L’essentiel est de développer une forte valeur ajoutée dans son domaine de prédilection. À ce titre, Davis Polk Paris est quasiment un cabinet de niche, une boutique avec une vingtaine d’avocats qui exercent leur spécialité avec une vision globale. Aux États-Unis, l’objectif n’est pas d’être non plus full service mais de maintenir un haut niveau de qualité dans chacune des expertises proposées aux clients. D’ailleurs, le cabinet arrive en bonne place dans les classements américains avec un fort taux de rentabilité.
À Paris, Georges Terrier s’est toujours attaché à faire progresser le niveau de rentabilité de ses équipes. Maintenant chez Davis Polk, le chiffre d’affaires par associé frôle les quatre millions d’euros, un niveau atteint uniquement par un ou deux cabinets à Paris.
La firme devrait prochainement promouvoir des candidats parisiens «?légitimes dans la durée?», à l’association, selon l’expression du managing partner. «?Nous sommes dans un projet institutionnel qui s’inscrit dans la durée et qui induit un développement adapté à l’exigence de haut niveau de qualités professionnelles et personnelles.?»
… fondé sur un modèle performant
Avec plus de cent soixante ans d’existence aux États-Unis et cinquante à Paris, Davis Polk a atteint un niveau de maturité qui lui permet d’avancer en terrain quasi conquis. Construit «?step by step?», le modèle de la firme s’éloigne de ses concurrents. La firme ne concourt pas à la course à l’expansion. Les bureaux sont ouverts stratégiquement sur un marché porteur, puis le temps est laissé aux équipes de s’intensifier et d’augmenter leurs performances. Si Davis Polk est présent à Tokyo depuis 1987, Hongkong n’a ouvert qu’en 1997 et Pékin dix ans plus tard. L’ouverture du dernier-né à São Paulo en 2011, a fait l’objet de profondes réflexions et de calculs stratégiques au préalable.
Là où la firme se démarque particulièrement des autres cabinets américains c’est sur le système de rémunération. Alors que la majorité des firmes outre-Atlantique choisissent le principe du «?eat what you kill?», Davis Polk a préféré un pur lockstep. Tous les associés sont au même niveau de rémunération en fonction de leur séniorité. Ce système a plusieurs effets bénéfiques : l’encouragement du cross-border pour soutenir le développement de chacun des associés, des taux de facturation identiques quel que soit le bureau sollicité, permettant la constitution d’équipes multinationales sans alourdir les honoraires, et enfin une unité de qualité entre les différentes spécialités, départements et bureaux. Il est bien évident qu’un associé qui déséquilibrerait la structure et l’homogénéité de la firme serait appelé à la quitter. La santé du groupe prévaut sur la rentabilité de chacun. «?Les avocats travaillent ensemble, la démarche est commune et la synergie totale. Dans ce système particulièrement efficace, 1 + 1 = 3, ajoute Georges Terrier. Cela évite aussi les doublons entre les avocats positionnés sur les dossiers. L’avantage pour le client est de ne pas avoir une inflation de facturation. L’optimisation de l’organisation du travail implique le meilleur service au meilleur coût rendu au client. Le bureau qui a ouvert le dossier facture aux clients.?»
Objectif atteint
La stratégie européenne de se concentrer sur les grands corporates porte ses fruits. L’objectif de Georges Terrier «?de faire de Davis Polk un acteur significatif du marché juridique parisien?» est atteint. À la clientèle de banques et d’institutions financières s’ajoutent les grands comptes des principales sociétés du CAC 40. La culture du contentieux y est certainement pour beaucoup. À l’image des équipes américaines, très bien positionnées sur le contentieux dédié aux opérations de M&A et de marchés de capitaux, l’équipe parisienne fait partie des plus performantes du marché en contentieux des affaires. Ce que veulent les clients ? Disponibilité, réactivité, imagination et indépendance. Des objectifs auxquels devront répondre les futurs associés du cabinet.
Quelques dossiers emblématiques de l’équipe parisienne
En ne sélectionnant que l’activité du bureau de Paris sur l’exercice 2012, la liste des dossiers est emblématique de la renommée et de l’expertise de Davis Polk. En matière de M&A, l’équipe est intervenue aux côtés du groupe Canal+ lors de l’acquisition des chaînes de télévision du groupe Bolloré (Direct 8 et Direct Star), de Valeo sur son projet de cession de son activité «?mécanismes d’accès?» au groupe japonais U-Shin et de Carrefour lors de la cession et de la réorganisation de ses activités grecques. En matère d’opération de marchés de capitaux, Davis Polk a conseillé GDF Suez pour une émission obligataire d’une valeur de 1,5 milliard de dollars, Technicolor lors de son augmentation de capital réservée ? Vector Capital et LVMH pour son émission d’obligations à hauteur de 850?millions de dollars. Un client que Davis Polk suit également sur les volets contentieux.
Pour lire l'interview de Thomas J. Reid, managing partner, et John A. Bick, associé dirigeant du pôle corporate
Un cabinet bien français…
Lors de son ouverture en 1962, le bureau parisien de Davis Polk n’était qu’une antenne française de la firme américaine. Depuis tout a changé. D’abord positionné sur le droit américain grâce à un partenariat avec Bredin Prat pour le volet français des dossiers, Davis Polk se fait un nom sur la place du marché de capitaux. C’est Arnaud Pérès qui, arrivé en 2005, ouvre pleinement l’équipe au droit français et à la clientèle parisienne. Le spécialiste des M&A privées et publiques a auparavant exercé quinze ans chez Freshfields. En 2007, le virage est complet. Georges Terrier, accompagné de Christophe Perchet, rejoint le cabinet. Ancien directeur juridique (Goodyear) entré chez JeantetAssociés en 1982, il dirige le cabinet français à partir de 2000. Sa renommée s’appuie sur une double maîtrise du conseil M&A et du contentieux des affaires. Davis Polk trouve en lui l’avocat idéal pour porter le bureau de Paris, dont il prend la direction, en haut des classements. «?J’ai choisi Davis Polk pour poursuivre ma carrière parce que j’ai été attiré par la plateforme internationale de la firme et son modèle professionnel dans lequel l’élégance et la solidarité entre les avocats sont des facteurs de grande efficacité.?» Les deux associés américains qui pilotaient l’équipe française repartent alors aux États-Unis. Andrés Gil, en provenance de New York, les remplace.
L’équipe se renforce encore l’année dernière avec l’arrivée de Jacques Naquet-Radiguet, ancien associé dirigeant de la pratique corporate chez Shearman & Sterling. Conseil de Rhodia, Baccarat et Starwood Capital Group notamment, il est un spécialiste des opérations transfrontalières et intérieures de fusions-acquisitions privées et publiques, des transactions de coentreprise et de private equity. «?Nous avons bien sûr été séduits par son expérience de plus de quinze années chez Shearman mais aussi par sa vision globale très entrepreneuriale du métier?», confie Georges Terrier, qui a présidé à son arrivée.
… dans un réseau vraiment international
Paris était le premier bureau ouvert par Davis Polk hors des frontières américaines. Il fait aujourd’hui office de modèle de développement en Europe. Le bureau de Londres vient en effet d’entamer une démarche similaire à celle réalisée à Paris. Ouvert en 1972, il est resté jusqu’à ce jour un acteur des opérations américaines. Depuis juin 2012, un avocat londonien, Simon Witty, est chargé de développer la pratique du droit anglais. En provenance de Freshfields où il est associé depuis plus de quinze ans, il est renommé sur les marchés de capitaux. Grâce à son expérience, l’ouverture de Londres au droit local se fera donc par la pratique du private equity, en lien direct avec les bureaux de Hongkong et de São Paulo. Cette ouverture témoigne une nouvelle fois de l’efficacité du réseau de la firme. L’interaction entre les équipes s’illustre sur le dossier EADS. En octobre, l’équipe londonienne est intervenue, avec le bureau de Paris, auprès du gouvernement français dans ses négociations avec le groupe BAE suite au projet de fusion des deux entités pour une valeur de 36 milliards de dollars.
Ces liens étroits entre les équipes permettent aussi de développer la pratique du restructuring à Paris. Elle est maintenant très solide, avec Christophe Perchet et Arnaud Pérès en France et Jeffrey O’Brien à Londres. La plate-forme Davis Polk permet une déclinaison des méthodes de travail, une globalisation des pratiques, à l’image du travail effectué auprès de Technicolor lors de sa restructuration. La procédure de sauvegarde, inspirée du droit américain, a permis de proposer des issues bien rodées chez Davis Polk.
Enfin, le réseau diffuse la culture Davis Polk, notamment l’importance du contentieux, un secteur fondamental aux États-Unis et dupliqué à Paris. Cette année, l’équipe française était aux côtés de Carrefour face à Casino sur les opérations au Brésil et d’Eramet lors de la remise en cause de sa privatisation en 1999.
Un haut niveau de rentabilité…
L’équipe parisienne a fait le choix de se positionner sur les matières d’excellence : le M&A, le private equity et le contentieux des affaires. «?Dans son domaine de compétence, les problématiques exigent une vision globale et transversale. Les directions juridiques des grands groupes, de plus en plus compétentes et positionnées à un niveau stratégique, recherchent de leurs conseils une forte valeur ajoutée ; le full service n’est plus recherché?», explique Georges Terrier. L’essentiel est de développer une forte valeur ajoutée dans son domaine de prédilection. À ce titre, Davis Polk Paris est quasiment un cabinet de niche, une boutique avec une vingtaine d’avocats qui exercent leur spécialité avec une vision globale. Aux États-Unis, l’objectif n’est pas d’être non plus full service mais de maintenir un haut niveau de qualité dans chacune des expertises proposées aux clients. D’ailleurs, le cabinet arrive en bonne place dans les classements américains avec un fort taux de rentabilité.
À Paris, Georges Terrier s’est toujours attaché à faire progresser le niveau de rentabilité de ses équipes. Maintenant chez Davis Polk, le chiffre d’affaires par associé frôle les quatre millions d’euros, un niveau atteint uniquement par un ou deux cabinets à Paris.
La firme devrait prochainement promouvoir des candidats parisiens «?légitimes dans la durée?», à l’association, selon l’expression du managing partner. «?Nous sommes dans un projet institutionnel qui s’inscrit dans la durée et qui induit un développement adapté à l’exigence de haut niveau de qualités professionnelles et personnelles.?»
… fondé sur un modèle performant
Avec plus de cent soixante ans d’existence aux États-Unis et cinquante à Paris, Davis Polk a atteint un niveau de maturité qui lui permet d’avancer en terrain quasi conquis. Construit «?step by step?», le modèle de la firme s’éloigne de ses concurrents. La firme ne concourt pas à la course à l’expansion. Les bureaux sont ouverts stratégiquement sur un marché porteur, puis le temps est laissé aux équipes de s’intensifier et d’augmenter leurs performances. Si Davis Polk est présent à Tokyo depuis 1987, Hongkong n’a ouvert qu’en 1997 et Pékin dix ans plus tard. L’ouverture du dernier-né à São Paulo en 2011, a fait l’objet de profondes réflexions et de calculs stratégiques au préalable.
Là où la firme se démarque particulièrement des autres cabinets américains c’est sur le système de rémunération. Alors que la majorité des firmes outre-Atlantique choisissent le principe du «?eat what you kill?», Davis Polk a préféré un pur lockstep. Tous les associés sont au même niveau de rémunération en fonction de leur séniorité. Ce système a plusieurs effets bénéfiques : l’encouragement du cross-border pour soutenir le développement de chacun des associés, des taux de facturation identiques quel que soit le bureau sollicité, permettant la constitution d’équipes multinationales sans alourdir les honoraires, et enfin une unité de qualité entre les différentes spécialités, départements et bureaux. Il est bien évident qu’un associé qui déséquilibrerait la structure et l’homogénéité de la firme serait appelé à la quitter. La santé du groupe prévaut sur la rentabilité de chacun. «?Les avocats travaillent ensemble, la démarche est commune et la synergie totale. Dans ce système particulièrement efficace, 1 + 1 = 3, ajoute Georges Terrier. Cela évite aussi les doublons entre les avocats positionnés sur les dossiers. L’avantage pour le client est de ne pas avoir une inflation de facturation. L’optimisation de l’organisation du travail implique le meilleur service au meilleur coût rendu au client. Le bureau qui a ouvert le dossier facture aux clients.?»
Objectif atteint
La stratégie européenne de se concentrer sur les grands corporates porte ses fruits. L’objectif de Georges Terrier «?de faire de Davis Polk un acteur significatif du marché juridique parisien?» est atteint. À la clientèle de banques et d’institutions financières s’ajoutent les grands comptes des principales sociétés du CAC 40. La culture du contentieux y est certainement pour beaucoup. À l’image des équipes américaines, très bien positionnées sur le contentieux dédié aux opérations de M&A et de marchés de capitaux, l’équipe parisienne fait partie des plus performantes du marché en contentieux des affaires. Ce que veulent les clients ? Disponibilité, réactivité, imagination et indépendance. Des objectifs auxquels devront répondre les futurs associés du cabinet.
Quelques dossiers emblématiques de l’équipe parisienne
En ne sélectionnant que l’activité du bureau de Paris sur l’exercice 2012, la liste des dossiers est emblématique de la renommée et de l’expertise de Davis Polk. En matière de M&A, l’équipe est intervenue aux côtés du groupe Canal+ lors de l’acquisition des chaînes de télévision du groupe Bolloré (Direct 8 et Direct Star), de Valeo sur son projet de cession de son activité «?mécanismes d’accès?» au groupe japonais U-Shin et de Carrefour lors de la cession et de la réorganisation de ses activités grecques. En matère d’opération de marchés de capitaux, Davis Polk a conseillé GDF Suez pour une émission obligataire d’une valeur de 1,5 milliard de dollars, Technicolor lors de son augmentation de capital réservée ? Vector Capital et LVMH pour son émission d’obligations à hauteur de 850?millions de dollars. Un client que Davis Polk suit également sur les volets contentieux.
Pour lire l'interview de Thomas J. Reid, managing partner, et John A. Bick, associé dirigeant du pôle corporate