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Une arrestation survenue alors même qu’il s’apprêtait à limoger le numéro un japonais de Nissan, un projet de fusion dont les Japonais ne voulaient pas… De sa prison de Tokyo, l’ex-président de Nissan évoque une machination montée de toutes pièces et destinée à l’écarter de la direction de l’Alliance au nom d’intérêts internes.

Enfin autorisé à communiquer avec les médias, Carlos Ghosn contre-attaque. Niant toute forme de malversation et arguant du fait que tout ce dont on l’accuse était connu des dirigeants de Nissan, l’ex-patron invoque un complot destiné à l’écarter alors qu’il s’apprêtait à renforcer l’intégration de Renault et de ses deux alliés japonais, Nissan et Mitsubishi.

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